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Un horizon, par-delà la brume
Un horizon, par-delà la brume
Toutes Editions
22 rue François de Neufchâteau
54098
NANCY, France
https://www.spectacles-publications.com/NANCY/ACT---FORMATIONS/evenements/35927/un-horizon-par-dela-la-brume
Chaque année, dans ce supplément, nous vous donnons des pistes pour anticiper l’avenir, afin de vous aider à y tracer votre chemin. Pourtant, son édition 2020 ne parlait ni de “cours en présentiel”, ni de “télétravail”, ni “d’activités non-essentielles”. Dans ses pages, les bars et les restaurants avaient besoin de personnel, les théâtres et les musées étaient fréquentés, les facultés ouvertes. Normal. On ne pouvait pas prévoir qu’un grain de sable, ou plutôt que des milliards de grains de sable couronnés, allaient dérégler notre société, nous obligeant à réinventer sans cesse notre quotidien.
Alors, dans ce monde incertain, où la visibilité n’excède pas quelques semaines, à quoi bon continuer d’essayer de prévoir ? Pourquoi se demander ce que sera le monde de demain ? C’est comme si nous marchions sur des sables mouvants, dans un brouillard épais qui nous cache l’horizon. Mais nous aurions tort de croire qu’il n’existe plus, cet horizon. Il est là, et à défaut de pouvoir le discerner, nous devons essayer de nous le représenter à partir de ce que nous en devinons.
Le virus a rebattu les cartes. À ce jeu, certains secteurs sont perdants. Mais parmi eux tous ne le resteront pas à long terme ; il y a fort à parier que, comme après chaque crise, la société sera prise d’une frénésie de distraction, de plaisir, de beauté.
Certains autres profitent de cette nouvelle donne. Le numérique : sa place dans notre vie a encore augmentée. Le sanitaire : au Jour de l’an, le traditionnel “et surtout la santé !” sonnait bien différemment… La logistique : mise à l’honneur pendant les confinements, elle est à nouveau sollicitée pour la vaccination. L’industrie : on veut recommencer à fabriquer en France les produits et les équipements qui nous ont tant manqués.
Dans les pages qui suivent, nous parlons de ces secteurs (ainsi que d’autres encore, toujours solides), des mécanismes permettant de se former et des stratégies pour organiser vos recherches.
Non, il n’est pas inutile de se projeter ! Au contraire, il est plus que jamais nécessaire de réfléchir aux différentes routes susceptibles de nous mener à bonne destination. Voire, de les créer. Car cet horizon, c’est nous qui le dessinons.
Alors, dans ce monde incertain, où la visibilité n’excède pas quelques semaines, à quoi bon continuer d’essayer de prévoir ? Pourquoi se demander ce que sera le monde de demain ? C’est comme si nous marchions sur des sables mouvants, dans un brouillard épais qui nous cache l’horizon. Mais nous aurions tort de croire qu’il n’existe plus, cet horizon. Il est là, et à défaut de pouvoir le discerner, nous devons essayer de nous le représenter à partir de ce que nous en devinons.
Le virus a rebattu les cartes. À ce jeu, certains secteurs sont perdants. Mais parmi eux tous ne le resteront pas à long terme ; il y a fort à parier que, comme après chaque crise, la société sera prise d’une frénésie de distraction, de plaisir, de beauté.
Certains autres profitent de cette nouvelle donne. Le numérique : sa place dans notre vie a encore augmentée. Le sanitaire : au Jour de l’an, le traditionnel “et surtout la santé !” sonnait bien différemment… La logistique : mise à l’honneur pendant les confinements, elle est à nouveau sollicitée pour la vaccination. L’industrie : on veut recommencer à fabriquer en France les produits et les équipements qui nous ont tant manqués.
Dans les pages qui suivent, nous parlons de ces secteurs (ainsi que d’autres encore, toujours solides), des mécanismes permettant de se former et des stratégies pour organiser vos recherches.
Non, il n’est pas inutile de se projeter ! Au contraire, il est plus que jamais nécessaire de réfléchir aux différentes routes susceptibles de nous mener à bonne destination. Voire, de les créer. Car cet horizon, c’est nous qui le dessinons.